Vendredi mars 29th 2024

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Citations Jacques Bainville

« On ne doit jamais désespérer. L’histoire nous montre une suite de décadences et de renaissances. »

Jacques Bainville, La fortune de France, « L’avenir de la civilisation », 1937

 

« Il est futile de prétendre que les économistes ne prévoient rien et se trompent toujours. Les économistes ne prédisent pas l’avenir comme les pythonisses. Mais on peut tirer de leurs observations des déductions exactes, nous dirons même profitables et monnayables. Encore faut-il savoir les lire ! »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.I, « Les économistes prédissent-ils l’avenir ? », 1937

 

« Le dollar ne peut pas se tuer. Il ne le peut pas parce que son geste suicide tue les autres monnaies et, par suite, le fait revivre. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.I, « Le coup mortel au crédit », 1937

 

« Comme on connaît ses saints on les honore. Comme on connaît un pays on le dirige. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.I, « Confiance et méfiance », 1937

 

« Qu’est-ce que l’épargne ? Un effort de volonté. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.II, « Valeur de l’épargne », 1937

 

« L’épargne, qui s’inspire d’un désir de sécurité, est un acte de foi. Quand la sécurité disparaît, la foi meurt. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.II, « Valeur de l’épargne », 1937

 

« L’épargne est l’origine du capital comme elle est la justification morale du capitalisme, puisqu’elle représente une privation, un effort et même un sacrifice. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.II, « Valeur de l’épargne », 1937

 

« Il n’y a eu de civilisation qu’à partir du jour où des hommes, au lieu de manger tout le gibier de leur chasse et de se gaver, ont fumé ou salé de la viande, ce qui a permis à la tribu de se livrer à d’autres travaux. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.II, « Valeur de l’épargne », 1937

 

« Il est aisé de médire du capital. On peut, à loisir, l’appeler « odieux ». La difficulté est de le remplacer et de ne pas avoir besoin de lui. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.II, « La cigale et la fourmi », 1937

 

« Qu’est-ce, en effet, que le capital ? C’est de l’épargne. Et que représente l’épargne ? Un effort, un sacrifice, une privation. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.II, « La cigale et la fourmi », 1937

 

« Au commencement de l’épargne, il y a renoncement à un plaisir immédiat. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.II, « La cigale et la fourmi », 1937

 

« Le capital est comme toute chose en ce monde : il se dégrade, il s’use par l’effet du temps. Pour qu’il dure, il faut qu’il soit à tout instant reconstitué. »

Jacques Bainville, La fortune de France, Chap.II, « La cigale et la fourmi », 1937

 

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